Maintenant il est trop tard, il est toutjour trop tard
le monde interieur est dans un coeur public
Écarte de ma connaissence la notre exception mutuelle
avec l’âme desert je peut hausser les épaules
La notre fin c’etait la fin de l’ideal de l’amour
Je suis ivre, et le tabac est comme dieu vers la perfection
L’amour est mort, tue par un regard
comme un dessin perdu par un trait fait sans hésitation
Qu’est ce que je peut fair, je ne sais pas quoi fair
Le jour seron lègers ; les nuit, blanches
En charge de mes vices, je reigne sur la innocence
Mais je ne suis pas capable de me detendre
Je ne comprend pas
mais il ne faut même ètre vivent pour comprendre
qu’on a perdu la tendresse de la notre jeunesse
en èchange de cette merde existenciel
que tue l’espoir avec le sang de l’oblivion
And now I linger on
alone like a motherless child
Your face is choking my mind
I feel like a toxic glue
I call everyone of my kind
to tear my unholy heroism
of being grazing for the best intentions
instead of giving up my will
CAVALARIA
domingo, 2 de setembro de 2007
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